COSBINAL

LES HOMMAGES!!! IN MEMORIAM
KOTTO BASS, AUSSI!!!

    Je n’étais pas encore né que le célèbre guitariste – bassiste Nyamsi, plus reconnu sous le pseudonyme de KOTTO BASS était mort ! Mais j’ai trouvé ses mélodies berçantes aux messages éducateurs. Le 20 novembre 1996 cet incontournable handicapé moteur rendit son souffle de vie de suite d’une courte maladie !!!


    Le temps passe très vite ! Mais nous avons un devoir de mémoire envers le père d’« EDITH », « FOLO-FOLO » ou de « BAMENDA » à plus d’un titre :

    C’était un musicien complet (instrumentiste et chanteur). Son rythme établissait un pont entre plusieurs générations. Bien plus, n’est- il pas une source d’inspiration pour tous les handicapés, ces laissés-pour –compte ?


KOTTO, seras- tu un jour dans le panthéon ? Peut-être à BAMENDA ! «Concours de patience » ! VIVE LE VRAI ARTISTE !!!



CULTURE
FRANCO-COLLER LA PETITE

    La condamnation de la chanson « coller la petite » ne mériterait- elle pas notre totale adhésion ? Les artistes ne sont-ils pas, par excellence, des relais de l’éducation morale et de la vertu ? Les musiciens ne devaient-ils pas passer à la postérité qu’à partir de ce qu’ils apportent comme génie dans le progrès de l’Afrique et du monde ? LOUIS DE KOUM, à travers sa chanson » INTERPELLATION » a eu pourtant la témérité de noter les artistes, il y a une quinzaine d’années. Ceux qu’on vénère aujourd’hui et qui, paradoxalement nous ont montré leur nudité avaient« ZERO MACABO ».


    Personne ne l’a soutenu dans ce combat. Pourtant dans nos crèches et maternelles, les chansons amorales seront fredonnées et dansées par ces anges avant d’aller en congé. Les fondateurs de « L’EMERGENCE 2035 » devraient s’attaquer à leurs vrais ennemis.

insécurité
ENCORE BOKO HARAM

    Le monde bouge. Les hommes trépassent. Or, nous sommes tenus de nous incliner devant la mémoire de ceux qui sont tombés innocemment ou ceux qui ont bataillé pour nous. L’actualité nous oblige d’être au chevet de nos frères camerounais nigérians, français et autres… pour condamner la violence et le terrorisme.


    Cette actualité, au pays, c’est aussi le chant qui moralise, pervertit et terrorise nos mœurs. « Quand on chante vertueusement, on ne vend pas », nous confie une star de la chanson. A qui les honneurs ? Un peuple doit-il, pour émerger, s’appuyer sur des fausses valeurs ?

    L’autre l’a pourtant si bien dit : « Boko haram est parmi nous » Faut-il balayer ce point de vue d’un revers de la main ? Ne retrouvons-nous pas l’extrême violence sur nos routes crevassées, sur les pistes de nos aéroports ? Dans nos quartiers pleins de bars et loin des écoles ? Nous nous demandons aujourd’hui le secteur dans lequel nous pouvons jouir d’une sécurité ! Quels messages dans nos chansons ? Et ces églises hors-la-loi qui braquent notre sommeil ? Terrorisme atténué !!!